Information Produit
Description du Produit
Le Bol d’Air Jacquier c’est respirer la Santé
Conseil 2 séances minimum de 6 mn par semaine. Bon complément d’une séance de sophrologie ou d’autres soins spa santé.
Le Saviez-vous ?
L’activité respiratoire est importante est complexe.
C’est une évidence mais l’oxygène est source de vie et de santé.
Et ce n’est pas tout, la pollution est un vecteur important pour les maladies respiratoires.
Pourtant, sommes-nous tous correctement oxygénés pour assumer la vie pleinement et de façon épanouie ?
Justement le Bol d’Air Jacquier appareil d’oxygénation complété par des éléments comme de l’huile essentielle est efficace pour combattre certains facteurs de stress, de pollution…
Le Bol d’Air Jacquier , un équipement très efficace pour l’oxygénation cellulaire.
Quel est le rôle de l’oxygène dans notre organisme ?
L’énergie et la vie sont indissolublement liées. L’énergie provient de la digestion et de la respiration. C’est l’oxygène qui permet la transformation des aliments en énergie.
Comme le feu qui a besoin d’oxygène pour brûler le bois, les cellules du corps nécessitent de l’oxygène pour brûler les micro nutriments et les transformer en énergie utile. C’est ce que l’on appelle le métabolisme.
La vitalité de notre organisme est dépendante de l’énergie dont nous disposons. Sa diminution et l’affaiblissement de notre immunité (= le terrain) favorisent l’apparition de maladies telles que les cancers, sclérose en plaque…
En revanche, l’accumulation de déchets dans l’organisme se manifeste par l’apparition de maladies métaboliques (hépatites par ex), rhumatismes, allergies…
L’air que nous respirons contient 21% d’oxygène, de l’azote (78%), des gaz rares (environ 1%) et du gaz carbonique (0,04%) + des substances polluantes et de la vapeur d’eau.
Le problème est que dans les villes et dans les zones fortement industrialisées, le taux de gaz carbonique peut monter jusqu’à 0,14% (soit près de 3,5 fois la valeur normale). Cela accentue le risque d’hypoxie dans l’organisme, c’est-à-dire une diminution significative de la quantité d’oxygène distribuée aux tissus par le sang.
La pollution constitue clairement un frein à la bonne assimilation de l’oxygène par les cellules.
En passant dans les poumons, puis les bronches, les bronchioles et enfin les 300 millions d’alvéoles pulmonaires, l’oxygène que nous respirons dispose ainsi d’une surface d’échange d’une extraordinaire surface développée de près de 100 m2, en contact quasiment direct avec le sang.
Lorsque l’oxygène passe dans le sang, il y est dissout ou lié à l’hémoglobine des globules rouges grâce au fer qu’elle contient. La circulation sanguine permet ensuite son transport sous forme d’oxyhémoglobine jusqu’aux cellules des organes ainsi qu’aux tissus.
Les phénomènes essentiels de l’oxygénation se font directement au niveau des tissus, dans les cellules elles-mêmes. L’intensité respiratoire au niveau cellulaire est très différente selon les tissus. Ainsi, le cerveau consomme plus d’oxygène que le muscle pendant un effort.
La teneur en oxygène dans le corps humain est d’environ 62% et pour rappel, l’eau représente plus de 66% du poids du corps.
Il est important de souligner que l’oxygène joue également d’autres rôles que la vitale respiration cellulaire. Il intervient par exemple dans :
les processus de fabrication de certaines hormones
la régulation des teneurs en eau et en sel dans l’organisme
Sommes-nous régulièrement sous-oxygénés ?
Notre corps ne sait pas stocker l’oxygène ni même le produire. Nous sommes donc tous dépendants d’une source externe permanente.
Comme indiqué précédemment, l’air que nous respirons contient 21% d’oxygène. En définitive, ce n’est donc pas lui qui est le facteur limitant mais plutôt son assimilation par les tissus. Celle-ci peut s’avérer limitée en raison de nos modes de vies (alimentation, hydratation, exercices physiques, stress et émotions) et de la pollution atmosphérique dans 4 dimensions principales :
- physique (particules fines par ex),
- chimique (taux de CO2 issu des transports, polluants issus du tabagisme par ex),
- biologique (acariens, virus, microbes…),
- électrique (ions électropositifs en excès par ex).
On comprend aisément au regard des éléments qui précèdent que nous sommes bel et bien sous-oxygénés à différents degrés. Ceci n’est pourtant pas une fatalité et il existe une solution fiable et naturelle d’y remédier.
Qu’est-ce que le Bol d’Air Jacquier et qui en est l’inventeur ?
Ingénieur chimiste français, a œuvré toute sa vie pour découvrir et faire connaître l’oxygénation biocatalytique.
Commentaires
Il n'y a pas encore d'avis, voulez-vous donner le votre?